Archive pour March 2007

Les implants mammaires font l’objet d’une controverse

Thursday 15 March 2007

Les implants mammaires, qui sont utilisés lors d’une augmentation mammaire, font l’objet d’une grande controverse. Par exemple, aux États-Unis, l’emploi d’implants mammaires remplis de gel de silicone a été aboli par la « Food and Drug Administration » à cause d’un souci grandissant sur l’impact de tels implants sur la santé des femmes qui ont subi une augmentation mammaire. Plus d’un million de femmes portaient des implants à l’heure de l’interdiction et le démêlé conduisit les fabricants de ces implants à s’accorder sur une indemnité de 4,25 milliards de dollars. La question sur l’importance du risque lié à ces implants a été débattue au sein de la communauté scientifique. Ces derniers temps, on a abondamment discuté des risques hygiéniques en relation aux implants mammaires. Comme pour toute chirurgie, l’augmentation mammaire comporte des risques : l’asymétrie, la rupture, l’explosion, l’infection ou le durcissement des implants, compensés par la satisfaction des patientes.

Les implants mammaires

Thursday 15 March 2007

Un implant mammaire est une prothèse utilisée en chirurgie esthétique pour accroître le volume d’un sein ou pour reconstituer un sein, après une mastectomie par exemple. Il existe différents types d’implants mammaires, selon leur composition. Certains ont une enveloppe en silicone remplie de solution physiologique tandis que d’autres ont aussi une enveloppe en silicone, mais remplie de gel. Le volume de polypropylène, qui a été développé par le docteur Gerald W. Johnson, permet des volumes extrêmes et est très utilisé dans l’industrie pornographique.

Le diabète et l’insuline

Thursday 15 March 2007

Les îlots pancréatiques, qui sont des ramassis de cellules endocrines, sécrètent quatre hormones dans la circulation sanguine. Chacun comprend une multitude de cellules alpha, qui sécrètent une hormone polypeptidique appelée glucagon, et une masse de cellules bêta, qui sécrètent une protéine dénommée insuline. L’insuline et le glucagon sont des hormones antagonistes qui contrôlent la concentration du glucose sanguin, ou glycémie.

Le glucose, une source d’énergie

Thursday 15 March 2007

L’insuline est une hormone produite par le pancréas et qui permet au glucose, la principale source d’énergie de la respiration cellulaire, de passer du sang jusqu’aux cellules de l’organisme. Les cellules utilisent après le glucose comme source d’énergie. Mais s’il n’y a pas assez d’insuline ou si elle ne permet pas au sucre de circuler du sang aux cellules, le glucose demeure dans le sang. Le taux de glucose est donc trop haut et les cellules n’ont pas accès à l’énergie nécessaire à leur bon fonctionnement. Les symptômes du diabète découlent de ces deux problèmes. Normalement, toutes les cellules du corps humain sont capables d’utiliser le glucose pour produire de l’énergie. Cette énergie se présente sous la forme de la molécule d’ATP. Certaines cellules ont un besoin impératif de glucose comme source d’énergie, c’est le cas en particulier des cellules nerveuses. Lorsque les cellules n’ont pas accès à l’énergie dont elles ont besoin, elles ne peuvent accomplir leur travail, ce qui peut causer de sérieuses répercussions sur l’organisme.

Les symptômes du diabète

Thursday 15 March 2007

Les symptômes du diabète ne se montrent pas tous de la même façon et avec la même accentuation. Il est à noter que, de temps à autre, les symptômes ne sont pas apparents. Les manifestations du diabète sont : la fatigue, la somnolence, une augmentation du volume des urines, une soif intense, une faim abusive, un amaigrissement, une vision embrouillée, une cicatrisation lente, une infection des organes génitaux, des picotements aux doigts et aux pieds et un changement de caractère.

Le diabète et le pancréas

Thursday 15 March 2007

Le pancréas est un organe digestif situé derrière l’estomac, devant et au dessus des reins. Il a des fonctions endocrines et exocrines et il est relié au duodénum par le canal de Wirsung. Le pancréas est la deuxième glande la plus grosse du corps humain après le foie. Le pancréas a deux fonctions. La fonction exocrine du pancréas est la sécrétion des enzymes pancréatiques dans le duodénum, par le canal de Wirsung. Sa fonction endocrine est de produire le glucagon et l’insuline, deux hormones nécessaires à la régulation du glucose. Le glucagon et l’insuline sont produits par les îlots pancréatiques, le glucagon est produit par les cellules alpha et l’insuline par les cellules bêta de chaque îlot. L’insuline et le glucagon bouleversent tous deux la glycémie de l’organisme. L’insuline la fait diminuer en ordonnant a quasiment toutes les cellules de l’organisme d’absorber le glucose sanguin. L’insuline amoindrit aussi la glycémie en freinant la déchéance du glycogène dans le foie et en empêchant la transformation des acides aminés et du glycérol en glucides.

Le diabète de type I et le diabète de type II

Thursday 15 March 2007

Le diabète de type I se déclare à l’enfance, à l’adolescence et chez les jeunes adultes. Il est aussi appelé «  diabète juvénile ». C’est au moment de la puberté qu’il se manifeste le plus fréquemment. Il se définit par l’absence complète de la production d’insuline par le pancréas, en raison d’une attaque virale ou toxique, ou à la suite d’une réaction auto-immune qui emmène la destruction des cellules bêta de cet organe, lesquelles sont coupables de la synthèse de l’insuline. Les individus diabétiques de type I dépendent d’injections quotidiennes d’insuline pour survivre. Il est présentement irréalisable d’anticiper ce type de diabète. Les recherches s’effectuent principalement vers la compréhension des mécanismes démolissant les cellules responsables de la production d’insuline. Environ 10% des personnes diabétiques sont de type I.

 

Le diabète de type II se manifeste considérablement plus tard dans la vie, généralement vers l’âge de 40 ans. Il est aussi appelé « diabète de l’adulte ». La très grande majorité des individus atteints de diabète ont ce type de diabète, environ 90% des cas. Depuis quelques années, on remarque que ce type de diabète apparaît plus tôt et chez certains peuples à risque, il peut s’exposer dès l’enfance. Il est caractérisé par le fait que l’organisme devient résistant à l’insuline. Chez certaines personnes, la production d’insuline est insuffisante. Chez d’autres, l’insuline sécrétée n’accomplit pas sa tâche convenablement, entraînant l’augmentation du taux de sucre dans le sang. Le diabète de type II est le plus sournois. Les signes peuvent être insignifiants et passer inaperçus pendant plusieurs années. Malencontreusement, quand il est diagnostiqué, il est déjà trop tard.

Le prix d’une liposuccion

Thursday 8 March 2007

La liposuccion est une opération assez coûteuse. En fonction de la méthode utilisée et de la zone traitée, le coût change. Le prix d’une liposuccion peut alors grandement varier. Le choix du chirurgien peut aussi affecter le prix de votre liposuccion. Cependant, nous pouvons vous transmettre quelques fourchettes de prix qui ne sont qu’approximatives. Le prix d’une liposuccion du visage (double menton, bajoues) peut varier entre 1200 et 1900 euros. Le coût d’une liposuccion de la culotte de cheval varie entre 1500 et 2300 euros. Une liposuccion des genoux peut coûter de 750 à 1100 euros, celle du ventre de 900 à 1900 euros et celle des fesses de 900 à 3100 euros. La liposuccion n’est qu’une éventualité vous permettant de regagner un corps architectural. La musculation vous permettra de retrouver de la fermeté et la perte de masse demeure une étape obligatoire.

La liposuccion

Thursday 8 March 2007

Liposuccion 

La liposuccion est l’aspiration des excédents de graisse sous-cutanée. Il est possible de corriger l’allure de votre silhouette que vous trouvez déplaisante à cause de la présence d’excès de graisse. Les résultats sont étonnants d’autant plus que la peau est extensible et tonique donc, elle se redresse après l’aspiration des tissus graisseux. Il faut bien concevoir que la liposuccion ne traitera pas la cellulite (peau d’orange) et qu’elle ne rénovera pas l’aspect de la peau. Toute anomalie superficielle présente avant la liposuccion sera également présente après la liposuccion. Les surplus localisés de graisse se retrouvent habituellement à certains lieus du corps : culotte de cheval, hanches, poignées d’amour au niveau de la taille, abdomen, face externe et interne des cuisses, face interne des genoux, fesses, menton et cou. La liposuccion peut être utilisée seule ou collaboratrice à d’autres interventions chirurgicales (plastie abdominale, lifting). Fait important, la graisse enlevée ne réintégrera pas subséquemment certaines localisations du corps.