Archive pour la catégorie 'Nutrition'

Les fibres alimentaires réduisent le mauvais cholestérol

Wednesday 4 February 2009

Les fibres alimentaires sont les parties, d’origine végétale, qui ne sont pas transformées lors de la digestion. Bien que les fibres ne soient pas digérées, elles sont tout de même indispensables au transit intestinal. Les fibres alimentaires font partie de la catégorie des glucides complexes. Il existe 2 types de fibres alimentaires : les fibres solubles dans l’eau, comme les pectines, et les fibres insolubles dans l’eau, comme la lignine.

 Toutes les fibres alimentaires possèdent un rôle bénéfique pour l’organisme. Les fibres résistent à la digestion dans l’intestin. Elles n’ont donc pas un rôle nutritionnel comme tel. En fait, leur rôle se résume à absorber et à garder l’eau dans l’intestin, et ainsi augmenter le volume du bol alimentaire. Aussi, elles stimulent la contraction de l’intestin et favorise l’activité bactérienne dans le côlon. Un régime riche en fibres réduirait le risque de cancer du côlon. Une carence en fibres alimentaires peut conduire à des troubles digestifs et intestinaux et à la constipation.

Les fibres alimentaires ont un rôle positif dans le contrôle de la faim puisqu’elles augmentent le sentiment de satiété. Elles limitent ainsi la suralimentation et réduisent le risque de surpoids et d’obésité. Les fibres alimentaires sont donc bénéfiques pour un contrôle optimal du poids corporel. Une alimentation riche en fibres alimentaires contribue aussi à réduire les taux de “mauvais cholestérol”, ou cholestérol LDL, et du même coup réduisent le risque de troubles coronariens.  

On retrouve les fibres dans tous les aliments végétaux, comme les fruits, les légumes et les céréales. Il est cependant préférable de manger des céréales entières. Les habitudes de consommation tendent à faire réduire l’apport journalier de fibres alimentaires. On recommande de manger entre 25 et 30 grammes de fibres par jour, ce que très peu de gens atteignent.

Réduire le risque d’infection avec les oméga-3

Tuesday 25 November 2008

Les oméga-3 sont des acides gras essentiels que l’ont retrouvent beaucoup dans le poisson ainsi que dans les graines de lin. Les acides gras oméga-3 et les acides gras oméga-6 jouent un rôle très important dans les réactions inflammatoires et l’équilibre ou le ration entre les deux est extrêmement important. Des taux élevés d’oméga-3 aideraient à prévenir et à réduire les symptômes de la maladie de Crohn, de l’arthrite rhumatoïde, de l’asthme ainsi que d’autres problèmes inflammatoires. Plusieurs recherches ont prouvées que des taux élevés d’acide gras oméga-6 étaient souvent reliés à des troubles inflammatoires.

Cet hiver, évitez le rhume et la grippe avec la vitamine C

Tuesday 25 November 2008

La vitamine la plus populaire est probablement la vitamine C. La vitamine C est aussi connue sous l’appellation acide ascorbique. La vitamine C est un nutriment absolument nécessaire à la vie humaine. En effet, la vitamine C assure le bon fonctionnement de notre système immunitaire. Elle nous aide ainsi à résister aux infections, qui sont particulièrement proiminantes durant l’hiver. En plus, la vitamine C est dotée d’une fonction antioxydante, et est donc une des vitamines qui aide à prévenir le vieillissement ainsi que plusieurs formes de cancer. Elle contribue aussi à la production du collagène et à la cicatrisation.

Les fruits et légumes : riches en antioxydants

Wednesday 3 September 2008

Les antioxydants sont reconnus pour leurs vertus envers la santé. En effet, les antioxydants peuvent aider à prévenir le cancer ainsi que plusieurs types de maladies. Les fruits et les légumes ont des pouvoirs antioxydants très élevés.

Les antioxydants les mieux connus sont le B-carotène (provitamines A), l’acide ascorbique (vitamine C), le tocophérol (vitamine E), les polyphénols et le lycopène, que l’on retrouve surtout dans la tomate. Nous retrouvons aussi les flavonoïdes, qui sont très répandus dans les végétaux, les tannins, que l’on retrouve dans le cacao, le café, le thé et les raisins, les anthocyanes, que l’on retrouve dans les fruits rouges, et les acides phénoliques.

Les avantages et les bienfaits de manger végétarien

Wednesday 25 June 2008

 

La diète végétarienne comporte plusieurs bienfaits sur le corps et la santé. Premièrement, le contrôle du poids est beaucoup plus facile lorsque l’on est végétarien. En général, les végétariens maintiennent un plus bas et plus stable poids que la majorité des gens. Cette réalité provient du fait que les végétariens consomment énormément de fibres et très peu de gras, car ils mangent beaucoup de légumes et de fruits et aucune viande. Ceci donne un net avatage aux végétariens.

De plus, les végétariens ont une plus faible pression sanguine et un plus faible taux d’hypertension comparativement aux non-végétariens. La diète végétarienne, étant très faible en gras, en est la principale cause.

Aussi, l’incidence des maladies du coeur chez les végétariens est excessivement faible comparativement aux mangeurs de viande. Encore une fois, ceci est dû au fait que les végétariens mangent très peu de gras saturés. Les gras saturés se retrouvent principalement dans la viande, et ils sont très dommageables pour la santé du coeur. 

En bonus, les végétariens ont un plus faible taux de cholestérol que les personnes qui mangent de la viande sur une base régulière.

Un autre avantage, que possède les végétariens, est qu’ils ont un taux significativement plus bas de cancer que la population en général. Ces taux très bas de cancer sont principalement dû à leur très forte consommation de légumes et de fruits.

En plus de l’obésité, de l’hypertension, des maladies du coeur et du cancer, la diète végétarienne aide à prévenir le diabète, l’ostéoporose, les maladies biliaires et l’arthrite.

L’eau, le breuvage par excellence

Thursday 24 April 2008

L’eau est une substance essentielle à la vie. En effet, elle joue plusieurs rôles importants dans le corps humains. Tout d’abord, l’eau est un composé structural, associé principalement aux protéines tissulaires. De plus, l’eau est un milieu pour les fluides corporels et elle est essentielle à plusieurs réactions chimiques. Aussi, l’eau joue un rôle de véhicule et de solvant pour les nutriments, déchets et produits de digestion. L’eau est aussi un régulateur thermique par évaporation et un lubrifiant corporel. De plus, l’eau est essentielle au maintien du volume sanguin et de la pression sanguine.

Les recommandations en eau sont de 2,7 litres par jour pour les femmes et de 3,7 litres par jour pour les hommes. Ces recommendations incluent l’eau bue ainsi que l’eau contenue dans les aliments. La composition en eau du lait écrémé, des fraises, du melon d’eau, de la laitue, du chou, du céleri, des épinards et du brocoli est de 90 à 99%. Ce sont donc les aliments qui contiennent le plus d’eau.

Un déséquilibre hydrique peut provenir de différentes causes, comme par exemple la diarrhée, la fièvre, les vomissements, les hémorragie, les brûlures et la transpiration excessive. Il est à noter que toute perte d’eau est suivie d’une perte d’électrolytes. Les conséquences d’un déséquilibre hydrique sont la soif, la perte d’appétit, la diminution du volume des urines, les nausées et la diminution du volume sanguin. Il faut tenir compte du fait que 20% des déshydratations sévères provoquent le coma. Il s’avère donc très important de suivre les recommandations et de bien s’hydrater.

Conseils pour réduire la consommation de sel

Wednesday 23 April 2008

 

Le sodium est essentiel au maintien de la pression osmotique normale et de l’équilibre hydrique. De plus, il joue un rôle essentiel dans la contraction musculaire. Nous pouvons donc rapidement conclure que le sodium est un nutriment essentiel, qui doit faire partie de notre alimentation. L’apport suffisant en sodium est de 1500 milligrammes par jour.

Cependant, à forte dose, il peut être gravement toxique pour le corps humain. En effet, l’apport, maximale tolérable est de 2300 milligrammes par jour.

On le retrouve dans le sel de table ainsi que naturellement dans les aliments. Toutefois, 80% de la distribution du sodium dans l’alimentation provient des aliments tranformés pas l’industrie comme les viandes fumées, les préparations de fromage, le saumon et les sardines en boîte, les légumes en conserve, etc. De plus, certains additifs contiennent du sodium comme la poudre à pâte, le bicarbonate de soude et le glutamate monosodique (fréquemment utilisé dans les aliments transformés).

 Voici donc quelques conseils afin de réduire l’apport en sodium. 

– Éviter l’usage du sel de table

– Limiter l’ajout de sel dans la cuisson

– Rincer les légumes en conserve autant que possible

– Limiter les aliments suivants : potages et bouillons commerciaux, extraits de bouillons (cube, poudre ou concentré liquide), viandes/poissons fumés, salés et en conserve, bacon, boeuf salé, jambon, saucisses fumées, charcuteries, anchois, hareng salé, morue séchée et saléesaumon et thon en conserve, sardines

Éviter et prévenir le cancer avec les antioxydants

Tuesday 15 April 2008

 

En ce moment même, les scientifiques et plusieurs médecins du monde travaillent pour clarifier et confirmer les rôles des antioxydants dans la prévention des maladies chroniques.

Les coupables, dans plusieurs maladies chroniques, sont les radicaux libres. L’environnement (radiation ultraviolette, pollution de l’air et la cigarette) génère la majeure partie des radicaux libres. Les radicaux libres sont des molécules avec un ou plusieurs électrons libres. Un électron libre est hautement réactif et très instable. C’est alors que les radicaux libres se lient avec se lient avec des éléments stables du corps, afin de leur voler un électron. Suite à la perte de son électron, l’élément devient lui-même un radical libre et ira voler un électron à un autre élément stable. Ce phénomène engendre la production de plus en plus de radicaux libres. Les radicaux libres attaquent certaines parties du corps, ce qui cause plusieurs dommages. Toutes ces réactions contribuent à former des dommages aux cellules. De plus, cela induit la progression de certaines maladies ainsi que le vieillissement.  

 Les antioxydants neutralisent les radicaux libres en leur donnant un électron, ce qui arrête le processus. Quand il perdent des électrons, les antioxydants ne deviennent pas des radicaux libres car, ils sont stables sous toutes les formes. Les antioxydants se retrouvent sous plusieurs formes dans l’alimentation. En effet, nous pouvons les retrouver sous forme de minéral (zinc, manganèse et sélénium) ou sous forme de vitamine (vitamine E, beta-carotène et vitamine C).

Les antioxydants réduisent le risque de plusieurs types de cancers en protégeant l’ADN des cellules du corps. Plusieurs recherches ont rapportées des minimes risques de cancer chez les individus qui mangent abondamment de fruits et de légumes, riches en antioxydants, et de hauts risques de cancers chez les individus qui mangent abondamment de boeuf et de porc.

 Les aliments riches en vitamine C semblent protéger contre les cancers de la bouche, du larynx, de l’oesophage et de l’estomac. La vitamine E pourrait inhiber le cancer en attaquant les radicaux libres qui causent des dommages à l’ADN. Le beta-carotène ferait de même, en plus de diminuer les risques de mortalité.   

Plus de muscles avec les poudres de protéines?

Friday 28 March 2008

 

Parce que le corps construit les protéines des muscles avec des acides aminés, de nombreux athlètes prennent des protéines en poudre avec le faux espoir de stimuler la croissance musculaire. En fait, c’est le travail du muscle qui le construit et ainsi permet au muscle de grossir. Les suppléments protéiniques ne le font pas, et les athlètes n’ont pas besoin d’en prendre. La prise de suppléments de protéines n’améliore pas les performances athlétiques. Les poudres de protéines peuvent fournir des acides aminés pour le corps, mais la meilleure source d’approvisionnement en protéines reste l’alimentation.

Les protéines de lactosérum semble être particulièrement populaires auprès des athlètes en espérant parvenir à de plus grands gains musculaires. Le produit de la fabrication du fromage (lactosérum), est un ingrédient dans de nombreuses protéines en poudre à faible coût. Lorsqu’ils sont combinés à l’entraînement en force, les suppléments de lactosérum peuvent augmenter légèrement la synthèse des protéines, mais elles ne semblent pas améliorer les performances athlétiques.

Pour renforcer les muscles, les athlètes ont besoin de manger des aliments avec assez d’énergie et de protéines pour supporter le travail qui, lui, augmente la masse musculaire. Les protéines en poudre ne contiennent aucun des autres éléments nutritifs nécessaires à la construction du muscle. De plus, l’excès de protéines est convertit en graisse corporelle. La désamination de l’excès d’acides aminés amène une charge supplémentaire pour les reins, qui doivent excréter tout l’azote inutilisé.

Les ennemis du coeur : les acides gras trans

Friday 15 February 2008

 

Le plus souvent, les acides gras sont partiellement hydrogénés et quelques unes des doubles liaisons changent de configuration, passant de cis à trans. Dans la nature, la majorité des acides gras partiellement hydrogénés sont de configuration cis (cela veut dire que les atomes d’hydrogène voisins de la double liaison sont du même côté de la chaîne carbonée). Seulement quelques acides gras sont de configuration trans (cela veut dire que les atomes d’hydrogène voivins de la double liaison sont de chaques côtés de la chaîne carbonée) et la plupart sont retrouvés dans les gras animaux, comme le lait, les produits laitiers et les viandes. Ces différentes configurations des acides gras affectent leurs fonctions : dans le corps, les acides gras trans (mauvais gras) agissent plutôt comme les acides gras saturés (mauvais gras) plutôt que les insaturés (bons gras). La relation entre les acides gras trans (mauvais gras) et les maladies du coeur a fait l’objet de plusieurs recherches scientifiques.

Dans le corps, les acides gras trans affecte le cholestérol sanguin en élevant le cholestérol des LDL (mauvais cholestérol) et en diminuant le cholestérol des HDL (bon cholestérol). Les acides gras trans provoque aussi de l’inflammation au niveau des vaisseaux sanguins ainsi qu’une résistance à l’insuline. Limiter sa consommation d’acides gras trans au maximum peut améliorer la qualité du cholestérol sanguin et diminuer les risques de développer une maladie cardiovasculaire. Les acides gras trans se retrouvent surtout dans les produits qui ont été hydrogénés, comme certaines margarines, les shortenings, les gâteaux, les biscuits, les beignes, les craquelins, les croustilles, les colorants à café et plusieurs produits transformés industriellement.