Sarm communautaire, une superbactérie

9 May 2007

La Sarm communautaire est une bactérie très dangereuse qui peut entraîner la mort. La bactérie Sarm communautaire cause de l’hypotension et des lésions cérébrales. La bactérie Sarm communautaire est une superbactérie qui s’attaque aux valves cardiaques et qui produit des abscès cérébraux. La Sarm communautaire est une staphylocoque aureus résistante à certains antibiotiques, comme la miticyline. Elle peut parfois s’apparenter à la bactérie mangeuse de chair. La bactérie provoque une dégradation rapide avec choc sceptique. Elle cause la mort très rapidement. Elle provoque une infection de la peau et des tissus mous. Ses lésions peuvent ressembler à une piqûre d’insecte. La bactérie Sarm communautaire se transmet de façon cutanée et est très contagieuse. Cinquante pourcent des victimes infectées en meurent. On constate maintenant une épidémie au Canada, aux États-Unis et en Europe.

Le GHB, une drogue dangereuse

9 May 2007

En deux ans, trois personnes au Québec sont mortes suite à la consommation de GHB et c’est pourquoi elle figure parmi les plus dangereuses. De plus, la différence entre la dose entraînant l’effet désiré et la dose mettant la vie en danger est très minime.

Temps d’action du GHB

9 May 2007

Les effets du GHB se manifestent dans les 15 à 30 minutes après son absorption. La durée d’action du GHB est de 3 à 6 heures, selon la posologie et la pureté. Cependant, on a signalé des cas de sensation d’étourdissements d’une durée de plusieurs jours.

GHB et alcool, une combinaison dangereuse

9 May 2007

Le GHB, quand on le mélange avec d’autres drogues, a des effets inattendus et foudroyants qui peuvent être mortels. Le GHB a des effets similaires à ceux que procure l’alcool. Le principal danger de cette drogue est de mélanger volontairement GHB et alcool. Le mélange GHB et alcool est explosif. Les effets de l’alcool et du GHB sont similaires et lorsqu’ils sont mélangés, leurs effets se multiplient. Ce mélange augmente considérablement les risques de dépression respiratoire, de coma, de perte de conscience et de mort. L’alcool multiplie les effets du GHB. Le GHB peut présenter des interactions médicamenteuses dangereuses avec certains médicaments comme les inhibiteurs de protéase utilisés pour traiter le VIH. Quand le GHB est combiné à de l’alcool ou à d’autres drogues, ses effets sont plus intenses et le risque d’effets toxiques et d’overdose augmente. Le GHB ne doit pas être accompagné d’alcool, de benzodiazépines ou de barbituriques car ils agissent comme facteurs aggravant les caractères déprimants du GHB. Toutes ces drogues agissent au niveau du même récepteur membranaire neuronal, le récepteur GABA et ont un effet synergique, tous se liant au même récepteur. Les effets de l’alcool et du GHB étant synergiques, la combinaison des deux devient plus toxique.

La composition du GHB

9 May 2007

Le GBL est un produit en vente dans les quincailleries et il sert à la fabrication artisanale du GHB. Le GBL se transforme en GHB, dans le corps des consommateurs. Le GHB est composé de trois ingrédients chimiques principaux. Les éléments chimiques qui peuvent être convertis en GHB par l’organisme sont le GBL (gamma-butyrolactone) et le BD (1,4-butanediol). Ces éléments chimiques se retrouvent dans une gamme de produits, comme les produits de nettoyage. Son procédé de fabrication et sa composition chimique varient d’un laboratoire à l’autre, de même que la puissance et la pureté du produit final. Le GHB est un dérivé du GBL. C’est en mélangeant le GBL avec une base, comme le NaOH, qu’on obtient du GHB. Le GHB est moins toxique que le GBL, pour des effets équivalents. Comme drogue, il est souvent utilisé sous forme de sel chimique (Na-GHB ou K-GHB).

Sous qu’elle forme retrouve-t-on le GHB?

9 May 2007

Le GHB se vend en fioles de quelques millilitres. Le GHB se présente sous forme de liquide incolore et inodore, semblable à de l’eau. On le retrouve aussi sous forme de capsule, de poudre blanche et de granules à dissoudre dans l’eau. Le GHB peut être versé dans un verre d’alcool sans en changer le goût.  

Comment le GHB agit-il sur l’organisme?

9 May 2007

Le GHB détient des effets sur le système nerveux central. Il est un dépresseur du système nerveux central. La structure chimique des sources actives de certaines plantes psychotropes est très proche de quelques hormones du cerveau. Celles-ci sont habituellement des neurotransmetteurs qui jouent un rôle indispensable dans la biochimie des fonctions mentales car, elles collaborent à la transmission chimique des impulsions entre les neurones. Les neurones sont en fait des cellules spécialisées. Leur activité caractéristique est en fait de permettre au cerveau d’apprendre, de raisonner et de se souvenir. Les drogues peuvent interagir dans toutes les escales de l’activité des neurotransmetteurs. De manière très particulière, les drogues peuvent paralyser les réactions chimiques permettant la création des neurotransmetteurs, évacuer les vésicules qui renferment les neurotransmetteurs de leur chargement, bloquer l’entrée ou la sortie des neurotransmetteurs dans les vésicules, saturer les récepteurs à la place des neurotransmetteurs, empêcher les neurotransmetteurs de revenir dans leur neurone originel et interférer avec les changements et les impulsions électriques et chimiques parvenant au neurone récepteur. En d’autres termes, les drogues peuvent endommager les facultés intellectuelles en bloquant les impulsions nerveuses, en empêchant les neurotransmetteurs de parvenir à l’endroit où ils doivent aller ou encore de produire beaucoup trop ou insuffisamment de neurotransmetteurs. Le résultat est la stimulation exagérée des neurones, ou encore une absence de stimulation, ce qui empêchera le système nerveux de mener à bien ses fonctions habituelles. Il est produit physiologiquement dans le cerveau des mammifères et sa structure chimique est très proche de celle d’un neurotransmetteur qu’on nomme le GABA. Dans le cerveau des mammifères, le GHB est synthétisé à partir du GABA. Le GHB neutralise temporairement la diffusion de dopamine et en augmente ainsi la concentration dans le synapse. Le GHB stimule la production d’hormone de croissance. Le GHB agit sur les endorphines ce qui lui donne des propriétés sédatives et anesthésiantes. Le GHB agit sur le septum et l’hippocampe. Il gère les comportements d’alarme, de peur, d’anxiété et d’éveil. Il met l’ensemble des muscles du corps en état de profonde relaxation.

L’alimentation

4 May 2007

Guide alimentaireSi vous ne vous alimentez pas de façon équilibrée, modérée et dans une atmosphère de détente, c’est que vos habitudes alimentaires doivent être changées. Je vous présente quelques principes de base qui vous aideront à changer vos habitudes quotidiennes. Leur application ne demande ni temps ni argent. Premièrement, assurez-vous que votre alimentation contient amplement de protéines, surtout si vous êtes végétarienne. De plus, vous devz équilibrer votre apport en corps gras. Aussi, mangez beaucoup de fruits frais et de légumes crus. Il vous faudra oublier la farine raffinée pour la remplacer plutôt par une farine complète. Les fibres végétales sont essentielles au bon fonctionnement de votre organisme alors, assurez-vous d’en manger suffisamment. Vous devez aussi supprimer autant que possible le sucre raffiné ainsi que le sel. Buvez beaucoup d’eau et faites attention à votre consommation de café, de thé, de boissons gazeuses et sucrées et d’alcool. Finalement, il est primordial de répartir de façon équilibrée chacun de vos repas de la journée et prenez du plaisir à manger de bons repas. 

La cellulite

4 May 2007

Peau sans cellulite 

La cellulite est un phénomène typiquement féminin. La cellulite est une accumulation anormale de graisse sous-cutanée. On estime qu’environ 90 % des femmes sont atteintes de cellulite à plusieurs degrés. Quels sont les moments de la vie les plus propices au développement de la cellulite? Certaines femmes sont plus à risque durant certaines périodes de leur vie. La cellulite est en lien direct avec les fluctuations hormonales. La cellulite apparait principalement à la puberté, lors de la grossesse, de la ménopause, lors des cycles menstruels ainsi qu’au premiers moins de la prise de la pilule contraceptive. Lors de la puberté, les oetrogènes provoquent un développement des tissus graisseux sur certaines zones du corps de la femme. Ces zones sont les hanches, le ventre, les fesses et les cuisses. Lors de la grossesse, la cellulite apparait grace à la quantité plus importante d’hormones produites dans le corps. Lors de la ménopause, les graisses ont plutôt tendance à être emmagasinées qu’à être consommées par le corps. Lors d’une prise de poids imporatnte, la cellulite est provoquée par un excès d’hormones. Certains risques peuvent aggraver votre risque de développer de la cellulite et de la faire évoluer vers des stades où il devient plus dur de s’en défaire. Ces risques sont : une alimentation déséquilibrée, un manque d’exercice physique et une prédisposition héréditaire. Finalement, les tissus cutanés peuvent perdre de leur souplesse et de leur élasticité avec l’âge. Ces deux phénomènes peuvent amplifier le développement de la cellulite.

La Scarlatine

3 May 2007

La Scarlatine est une maladie éruptive infectieuse qui apparait sur une infection préexistante chez l’enfant de 3 à 12 ans. Au 18e siècle, la maladie était confondue avec la diphtérie à cause de symptômes semblables. De nombreuses épidémies sont apparues particulièrement entre les années 1838 et 1870 et c’est devenu la maladie infantile la plus redoutée. C’est en 1924 que nous avons définitivement démontré le rôle du streptocoque localisé dans la gorge. Le nom de la maladie est dû à la coloration rouge-lilas caractéristique de la peau que confère cette affection. L’agent pathogène en cause est une bactérie streptocoque de type A. La bactérie sécrète une toxine érythrogène qui diffuse et atteint le système nerveux végétatif. Les toxines sont responsables d’une vasodilatation associée à un oedème dermique et à un filtrat lymphocytaire. Les symptômes sont : mal de gorge, fièvre (frissons), rythme cardiaque accéléré, ganglions du cou enflés, difficulté à avaler, mal de tête, douleur au ventre et vomissements, éruption cutanée et langue avec des points rouges. Les traitements possibles sont : la péniciline durant 10 jours, acétaminophène pour traiter fièvre et douleurs, antihistaminique pour les démangeaisons. Il n’existe pas de vaccin contre la scarlatine, mais une fois que nous avons eu la maladie, nous sommes immunisés pour la vie.